Voilà plus de vingt ans que le répondeur de Là-bas a été inventé. L’idée était de ne pas perdre de vue ni d’oreille ceux pour qui nous travaillions, c’est-à-dire vous. Il y a les petits chefs, les grands chefs, les problèmes, la routine, et vite on oublie pourquoi, pour qui tout ça. D’où l’idée de mettre un répondeur au milieu du bureau, ouvert à fond et d’inviter les auditeurs à appeler. Les premiers messages arrivèrent, puis d’autres de partout. Combien de milliers depuis ? Combien furent diffusés ? 20 000 ? Des gentils, des méchants, des drôles, des poétiques, des politiques, des savants, des prolos, des fachos, des gauchos, des timides, des dingues, des péremptoires, des bègues... Vingt ans de surprises quotidiennes ! Et puis soudain Anastasie est arrivée avec ses grands ciseaux. Clic, clac, terminé. Mais c’est raté. Nous avons renoué le fil et c’est reparti, ici, Là-bas continue.
On est toujours là... et vous aussi
Le répondeur nouveau est arrivé !
Le
Cet article est en accès libre grâce aux abonnés modestes et géniaux, mais…
…sans publicité ni actionnaires, Là-bas si j’y suis est uniquement financé par les abonnements. Sans les abonnés, il ne nous serait pas possible de réaliser des émissions et des reportages de qualité. C’est le prix de notre indépendance : rejoignez-nous !
Voilà le fil renoué entre vous et nous. Voilà vos voix en chair et en os. Voilà à nouveau vos messages, ici désormais.