Hommage à Jean Ferrat

Le , par L’équipe de Là-bas

Cet article est en accès libre grâce aux abonnés modestes et géniaux, mais…

…sans publicité ni actionnaires, Là-bas si j’y suis est uniquement financé par les abonnements. Sans les abonnés, il ne nous serait pas possible de réaliser des émissions et des reportages de qualité. C’est le prix de notre indépendance  : rejoignez-nous  !

Je m'abonne J'offre un abonnement

Il y a un an disparaissait Jean Ferrat. Les enfants des Trente Glorieuses ont un bout de Ferrat dans le coeur. La France de la 4L, de l’autoradio sur la nationale 7. Les vieux sont au pouvoir : de Gaulle et le Parti. Ferrat, c’est Federico Garcia Lorca, c’est Ma môme, c’est Que serais-je sans toi. Et Deux enfants au soleil. Le secret de la popularité de Jean Ferrat, c’est qu’il s’est toujours adressé à ce que la France a de meilleur. C’est tout.

Programmation musicale


 Camarade
 Ma môme
 Nuit et brouillard
 Que serais-je sans toi
 Pauvres petits c
 Les jeunes imbéciles
 Le bilan
 Un air de liberté
 La porte à droite
 Les cerisiers

A lire


"Jean Ferrat : je ne chante pas pour passer le temps" de
Daniel Pantchenko (Fayard - septembre 2010)
A écouter
 "Best of de Jean Ferrat" (octobre 2009)
 "L’intégrale des enregistrements Decca Barclay" (Barclay - août 2010)
 "Jean Ferrat chante Aragon" (mai 1992)
 "Coffret 4 volumes : La montagne - Potemkine - Ma France - La commune" (2010)
A voir
"En scène. Jean Ferrat au pavillon Baltard novembre 1991". Textes inclus et photos inédites (Disques Temey - février 2003)

La sixième édition de la NRV


aura lieu le 14 mars.
Menée par l’Orchestre national de Dgiz, l’Eponge-qui-Gratte, Nicolas Lambert, Rafaële Arditti... Elle causera de mars 1871 et d’autres biens communs et communes envies.
A partir de 20h, à la Java, 105 rue du fbg du Temple, 75010. Restauration goûtue et bon marché. Réservation : 06 76 13 70 91 et nouvellerevuevivante@gmail.com

Écouter l'émission

  • 15:04:41 - 1/12

    - MP3 -

  • 15:09:41 - 2/12

    - MP3 -

  • 15:14:42 - 3/12

    - MP3 -

  • 15:19:42 - 4/12

    - MP3 -

  • 15:24:42 - 5/12

    - MP3 -

  • 15:29:42 - 6/12

    - MP3 -

  • 15:34:42 - 7/12

    - MP3 -

  • 15:39:42 - 8/12

    - MP3 -

  • 15:44:42 - 9/12

    - MP3 -

  • 15:49:42 - 10/12

    - MP3 -

  • 15:54:42 - 11/12

    - MP3 -

  • 15:59:42 - 12/12

    - MP3 -

  • 16:04:42 - 13/12

    - MP3 -

C'est vous qui le dites…Vos messages choisis par l'équipe

Les bouquins de LÀ-BASLire délivre

  • Voir

    La bibliothèque de LÀ-BAS. Des perles, des classiques, des découvertes, des outils, des bombes, des raretés, des bouquins soigneusement choisis par l’équipe. Lire délivre...

    Vos avis et conseils sont bienvenus !

Dernières publis

Une sélection :

Tout un été Là-bas MOI PRÉSIDENT, JE RÉPONDRAI À CHAQUE FRANÇAIS QUI M’ÉCRIRA ! AbonnésVoir

Le

Hervé Le Tellier, prix Goncourt pour son roman L’Anomalie, est moins connu pour sa correspondance avec plusieurs présidents de la République française. Pourtant, dans Moi et François Mitterrand, il dévoilait sa correspondance secrète avec ce grand homme et révélait l’incroyable vérité sur sa mort. Une vérité que les médias ont totalement occultée, il faut avoir le courage de le dire. Mais il évoquait aussi ses échanges épistolaires avec Jacques Chirac aussi bien qu’avec Nicolas Sarkozy. Tous ces grands chefs d’État ont pris le soin de répondre à Hervé alors qu’il n’était pas encore célèbre mais un simple citoyen. Le (ou la) futur(e) président(e) aura-t-il (elle) la même modestie ? Cette question nous fournit l’occasion de (ré)écouter l’entretien qu’Hervé nous a accordé en 2016. À travers ces échanges épistolaires, c’est une partie mal éclairée de notre histoire qui apparaît en montrant le rapport entre ces grands hommes et un modeste citoyen comme Hervé.

Tchernobyl, c’est notre paradis ! Avec les derniers habitants de la zone interdite Les joyeux fantômes de Tchernobyl Accès libreÉcouter

Le

Elles préféraient rester dans la zone contaminée plutôt que de quitter leur maison. Des centaines de milliers d’habitants furent évacués de gré ou de force dans une zone de 30 km après la catastrophe du 25 avril 1986. Mais ces quelques femmes avaient voulu rester, malgré dénuement et abandon.

Environ 700 irréductibles, les SAMOSELY, survivaient ainsi dans la zone la plus contaminée par la radioactivité dans le monde, 2 600 km2, devenue aujourd’hui un « parc involontaire » où se développent une faune et une flore étranges, avec toujours ces habitants tenaces depuis trente ans. (...)