Les mots sont importants

Le

Cet article est en accès libre grâce aux abonnés modestes et géniaux, mais…

…sans publicité ni actionnaires, Là-bas si j’y suis est uniquement financé par les abonnements. Sans les abonnés, il ne nous serait pas possible de réaliser des émissions et des reportages de qualité. C’est le prix de notre indépendance  : rejoignez-nous  !

Je m'abonne J'offre un abonnement

Trophée des Big Brother Award
Entretien avec Sylvie Tissot et Pierre Tévanian du collectif "Les mots sont importants"
Les mots que nous utilisons, que nous choississons, ont un sens propre, leur association a une signification, et "vivre dans l’omission de cette évidence laisse la voie libre aux plus lourds stéréotypes, amalgames, sophismes et présupposés clôturant la pensée et la création mieux que ne le ferait la plus efficace des censures."
Un exemple ? Prenons celui-ci :
Première version d’une information, entendue il y a quelques jours : "Un jeune, qui avait sur lui un opinel et une boulette de haschich, s’est enfui devant la police"
Deuxième version : "Le suspect, dissimulant une arme blanche et possédant de la drogue, a pris la fuite devant la police." Parlant, non ?
Le site des Mots sont importants
Le site des Big Brother award qui auront lieu le 29 mai prochain

Programmation musicale


 Cathon Cathaix : Père, patrie, patron
 La Canaille : Requiem
 Mell : Les mots crus
 Groland (14 novembre 2005)

Écouter l'émission

  • Emission du jeudi 06 mai 2010 - 01/12

    - MP3 -

  • Emission du jeudi 06 mai 2010 - 02/12

    - MP3 -

  • Emission du jeudi 06 mai 2010 - 03/12

    - MP3 -

  • Emission du jeudi 06 mai 2010 - 04/12

    - MP3 -

  • Emission du jeudi 06 mai 2010 - 05/12

    - MP3 -

  • Emission du jeudi 06 mai 2010 - 06/12

    - MP3 -

  • Emission du jeudi 06 mai 2010 - 07/12

    - MP3 -

  • Emission du jeudi 06 mai 2010 - 08/12

    - MP3 -

  • Emission du jeudi 06 mai 2010 - 09/12

    - MP3 -

  • Emission du jeudi 06 mai 2010 - 10/12

    - MP3 -

  • Emission du jeudi 06 mai 2010 - 11/12

    - MP3 -

  • Emission du jeudi 06 mai 2010 - 12/12

    - MP3 -

C'est vous qui le dites…Vos messages choisis par l'équipe

Les bouquins de LÀ-BASLire délivre

  • Voir

    La bibliothèque de LÀ-BAS. Des perles, des classiques, des découvertes, des outils, des bombes, des raretés, des bouquins soigneusement choisis par l’équipe. Lire délivre...

    Vos avis et conseils sont bienvenus !

Dernières publis

Une sélection :

Tout un été Là-bas MOI PRÉSIDENT, JE RÉPONDRAI À CHAQUE FRANÇAIS QUI M’ÉCRIRA ! AbonnésVoir

Le

Hervé Le Tellier, prix Goncourt pour son roman L’Anomalie, est moins connu pour sa correspondance avec plusieurs présidents de la République française. Pourtant, dans Moi et François Mitterrand, il dévoilait sa correspondance secrète avec ce grand homme et révélait l’incroyable vérité sur sa mort. Une vérité que les médias ont totalement occultée, il faut avoir le courage de le dire. Mais il évoquait aussi ses échanges épistolaires avec Jacques Chirac aussi bien qu’avec Nicolas Sarkozy. Tous ces grands chefs d’État ont pris le soin de répondre à Hervé alors qu’il n’était pas encore célèbre mais un simple citoyen. Le (ou la) futur(e) président(e) aura-t-il (elle) la même modestie ? Cette question nous fournit l’occasion de (ré)écouter l’entretien qu’Hervé nous a accordé en 2016. À travers ces échanges épistolaires, c’est une partie mal éclairée de notre histoire qui apparaît en montrant le rapport entre ces grands hommes et un modeste citoyen comme Hervé.

Tchernobyl, c’est notre paradis ! Avec les derniers habitants de la zone interdite Les joyeux fantômes de Tchernobyl Accès libreÉcouter

Le

Elles préféraient rester dans la zone contaminée plutôt que de quitter leur maison. Des centaines de milliers d’habitants furent évacués de gré ou de force dans une zone de 30 km après la catastrophe du 25 avril 1986. Mais ces quelques femmes avaient voulu rester, malgré dénuement et abandon.

Environ 700 irréductibles, les SAMOSELY, survivaient ainsi dans la zone la plus contaminée par la radioactivité dans le monde, 2 600 km2, devenue aujourd’hui un « parc involontaire » où se développent une faune et une flore étranges, avec toujours ces habitants tenaces depuis trente ans. (...)