Didier Porte se demande si Finkielkraut mérite autant qu’on s’intéresse à lui Abonnés
De retour de mon stage d’acclimatation à la maison de retraite le « Chrysanthème jovial », réservé aux artistes de gauche dans la débine, je m’imaginais que, pendant mon absence, le niveau du grand débat général sur le thème « doit-on (…)